Assarmatori, Confitarma et Federagenti demandent au gouvernement une table d'analyse et de comparaison avec shipping sur l'émergence COVID-19
Dans une lettre ils mettent en évidence les principales criticités affrontées du secteur
12 März 2020
Les organisations armatoriali italiennes Assarmatori et Confitarma (Confédération Italienne Armateurs) et Federagenti, la fédération nationale des agents et les raccomandatari maritimes, ont demandé l'activation urgente d'une table de comparaison et d'analyse avec les administrations impliquées dans les activités pour faire face à l'émergence coronavirus, crise - ils ont souligné - que shipping il vit avec extrême préoccupation même pour l'impact qui cette situation a et continuera à avoir sur le système socioéconomique à italien.
Assarmatori, Confitarma et Federagenti se sont rappellés que de l'armement italien, les entreprises d'armement qui actionnent en Italie et les agences maritimes on est jusqu'à vite à de mises à disposition, à travers leurs représentants, des autorités nationales et locaux pour contribuer à la solution de cette crise sanitaire qui a frappé particulièrement le Pays et qu'il discrimine l'Italie et les italiens dans le monde. En outre ils ont mis en évidence que les problématiques qui concernent les transports maritimes ils sont nombreux et est urgent déterminer solution adaptez à garantir l'opérativité des bateaux et la régularité des trafics.
À tel fin Assarmatori, Confitarma et Federagenti ont envoyé aux ministres des Infrastructures et des Transports, des Affaires etrangères et de la coopération Internationale et de la Santé une lettre, que nous publions de suite, pour illustrer les criticités plus importantes qui le secteur relèvent à niveau opérationnel jusqu'à d'adoption des premières mesures extraordinaires adoptées du gouvernement et que dans progresser de la crise on a fait au fur et à mesure plus serrant. Dans la lettre les trois associations demandent donc à l'urgent installation d'une table d'analyse et de comparaison du secteur avec les administrations impliquées auxquelles jusqu'à d'heure ils garantissent la disponibilité à participer et à fournir son support.
Assarmatori
Confitarma (Confédération Italienne Armateurs)
Federagenti (Fédération Nationale Agent Raccomandatari Maritimes et Médiateurs Maritimes)
Rome,
COVID-19 : CRITICITÉ TU TRANSPORTES MARITIMES
Aujourd'hui, ensemble à tout le monde productif national, shipping il vit avec extrême préoccupation se développer de la grave émergence covid-19 même pour l'impact qui cette situation a et continuera à avoir sur le système socioéconomique à italien.
L'armement italien, les entreprises d'armement qui actionnent en Italie et les agences maritimes on est jusqu'à vite à de mises à disposition, à travers leurs représentants, des Autorités nationales et locales pour contribuer à la solution de cette crise sanitaire qui a frappé particulièrement notre Pays et qu'il discrimine l'Italie et les italiens dans le monde.
Les problématiques qui concernent transports maritimes sont nombreux et est urgent déterminer solution adaptez à garantir l'opérativité des bateaux et la régularité des trafics.
Annexes au présent elles sont décrites les criticités plus importantes qui le secteur relèvent à niveau opérationnel jusqu'à d'adoption des premières mesures extraordinaires adoptées du Gouvernement et que dans progresser de la crise on a fait au fur et à mesure plus serrant.
Nous souhaitons l'urgent installation d'une table d'analyse et de comparaison du secteur avec les Administrations impliquées.
En ce sens, souscrites des associations ils garantissent dès maintenant la disponibilité à participer prédit à table et à fournir à son support l'Administration.
Avec plus distincts saluer.
Stefano Messina (Assarmatori)
Mario Mattioli (Confitarma)
Gian Enzo Duci (Federagenti)
Connu technicien covid-19
1. Fermeture des ports etrangers aux bateaux italiens
L'Italie est un des plus importants Pays maritimes du monde et bouge mer environ le 60°/o des marchandises (travaillés, semi-ouvrés et matières premières) dans import et export. Les nouvelles que nous recevons de différents Pays - soit Pays tiers que, malheureusement Étés de l'EU - dans lesquels actionnons, relatives à l'interdiction des ports aux bateaux qui aient escaladé dans les derniers 15 jours l'Italie, ils sont extrêmement préoccupants.
Elles ne sont pas à risque seulement nos entreprises de navigation, auxquelles il est empêché d'actionner pour le seul fait d'être italien, mais le Pays entier. En effet, au cas où des telles mesures devaient être adoptées d'autres nations géopolitiquement stratégiques, il y auraient des très graves répercussions pour notre économie qui, doit être rappellé, est principalement de transformation.
2. Risque de marginalisation de l'Italie des routes mondiales et d'approvisionnement
Il y a le concret risque que les services de transport prévus escalader les ports italiens décident définitivement bypassare de notre Pays pour ne pas se prévenir l'abordage dans autres nations.
Un nombre croissant d'armateurs étrangers refuse contractés de transport qu'ils prévoient débarque de marchandises dans les ports italiens en mettant en sérieuse difficulté l'import de matières premières. Parmi les secteurs qui pourraient lui en trouver vite y dépourvus ils sont même ceux-là essentiels à garantir les approvisionnements alimentaires du Pays (se débrouille agro-alimentaire, zootechnie, etc).
À souligner, dans ce je conteste, l'importance des transports maritimes dans le secteur énergétique, l'interruption duquel ou même le seul ralentissement pourrait comporter des répercussions facilement imaginables.
Au fin de ne pas rendre vain les efforts accomplis des armateurs pour garantir la continuité dans le transport des passagers et des marchandises il est aussi important que dans les ports il soit assuré un adéquat niveau de fonctionnement de tous les services nécessaires : de ceux d'intérêt général à ceux pour les movimentazione et le stoccaggio jusqu'aux contrôles des autorités. Là où ils devaient s'enregistrer des particulières difficultés en tel sens, on devrait pouvoir intervenir même à travers des appropriées dérogations.
En outre, suite à les mesures interdittive adoptées de quelques Pays, différents services maritimes de ligne ont été arrêtées. On pose par conséquent le problème de déterminer les amarrages aptes où faire s'arrêter les bateaux sans se rendre entrave à l'activité commerciale. À tel fin, il est nécessaire d'optimiser lui accostes disponibles dans tous les ports, en primis ceux qui retombent dans le domaine d'une même Autorité de Système Portuaire.
3. Impossibilité d'effectuer l'alternance des équipages
À cela il doit être ajouté que beaucoup d'unités de drapeau italien actionnent constamment à l'étranger et ont la necessité d'assurer l'alternance du personnel italien embarqué, soit pour les normales rotations prévues du contrat, mais même, par exemple, en cas de accident et maladie. De lorsque elle a éclaté l'émergence, dans beaucoup de nations il n'est pas plus possible alterner les équipages italiens avec autre personnel italien (nous rappellons de que sur les bateaux battants drapeau italien inscrit dans le Registre Ordinaire l'équipage doit être entièrement italien/communautaire, pendant que sur ces inscrite dans le Registre International la loi prévoit un certain nombre de membres de l'équipage italiens/communautaires), en les ayant exclu et je transite des maritimes italiens ; dans le concret, elles sont rejetées les questions de visa ou les imposés périodes de quarantaine calcules des obbligatori à l'arrivée. Il subsiste le réel danger que ces bateaux ne puissent plus actionner pour que pas en mesure de satisfaire du tableau minimum de sécurité, avec le conséquent risque d'effacement des contrats de fourniture des services. Particulièrement difficile, dans cet instant, elle est la substitution du commandant pour lequel il subsiste l'obligation de nationalité italienne ou communautaire, pourvu que en de possession de l'attestation de connaissance de la législation italienne, à cause du fait qui ont été suspendus les sessions d'examen, prés des Capitaineries du port, pour le relâchement de telle attestation.
Il se signale, enfin, que même l'arrivée à bord et je retourne dans son pays du personnel maritime à l'oeuvre sur les bateaux de drapeau italien (ce dernier obligatoire aux sens de MLC, 2006) deviennent toujours plus difficiles pour de l'effacement maintenant généralisé des vols et vers de l'Italie.
4. Échéance certifications et attestations IMO des maritimes italiens
Les mesures restrictives adoptées du Gouvernement ont impliqué même les activités relatives à la formation obligatoire du personnel navigant, en imposant la fermeture des centres de formation autorisés du Quartier général Général.
Telle fermeture ne permet pas aux travailleurs maritimes italiens de renouveler ses attestations/certifications IMO (Basic Formation, MAMS, MABEV, ECDIS, High Voltage, Ship Sécurité Officer, RoRo Pax) ainsi que les certificats de compétence, en empêchant donc aux mêmes de pouvoir travailler. Cela détermine des considérables difficultés, qu'ils s'aggravent de jour en jour, dans l'alternance des équipages et par conséquent dans la gestion de la flotte.
À tel égard, il est nécessaire de déterminer opportunement une solution qu'à j'avertis de écrivant - il devrait être représenté d'une prorogation de tels certificats/attestés, concédée seulement et exclusivement pour ceux en échéance et pour la période nécessaire au dépassement de l'émergence sanitaire en acte au fin d'éviter des problèmes aux bateaux qui actionnent à l'étranger telle prorogation il devra être nécessairement et promptement partagé, de la part de l'Administration, avec IMO et avec le principaux MOUs.
À telle intention, on signale l'initiative entreprise de Maritime and Port Authority of Singapour, qui permet aux maritimes étrangers auxquels il est périmé le « Certificat de Compétence (CoC) » de continuer à actionner à bord des bateaux enregistrés à Singapour, au cas où l'Administration qui a délivré dit en certifié proroge la validité. Aux maritimes singaporiani, par contre, le drapeau permet d'étendre la validité du CoC au-delà de l'échéance à tous qui ne peuvent pas débarquer à cause de l'émergence sanitaire (Circulaire MPA of Singapour n. 3 du 26 février 2020).
Un cas considérable est celui de la certification ECDIS qui prévoit une formation visée sur l'installation spécifie présent à bord d'un certain bateau. Il pourrait s'obvier à telle problématique avec la contemporaine présence à bord, pour un temps durée de congrue, de l'officiel débarquant certifié pour l'appareil en service et de l'officiel embarquant (en soprannumero) non certifié pour ECDIS en service mais qu'il sera dressé pendant l'embarquement pendant tours de garde en navigation.
5. Impossibilité de dérouler les visites sanitaires
Pendant qu'en ce qui concerne les inspections pour le relâchement des certificats de bord (en primis CGCCP et IL MIT) on a opportunement intervenu avec la circulaire n. 4/2020 du Quartier général Général, ils résultent par contre irrésolus les graves problèmes liés aux vérifications sanitaires dans les comparaisons des travailleurs maritimes.
En particulier :
1 Comme il est connu, l'armement italien est assujetti à une architecture de visites sanitaires unique au monde. En Italie ils sont en vigueur :
- la visite biennale (ex. Art. 12, d.lgs n.71/2015), conformément à la Règle 1/9 de la Convention STCW et à la Règle 1/2 du Maritime Labour Convention ;
- la visite calcule d'embarquement, aux sens de l'art. 323 de Code de navigation, tourne à vérifier l'aptitude au service du travailleur maritime ;
- la vérification sanitaire préventive et périodique effectuée de Medico Competente je tourne à vérifier l'aptitude à la fonction spécifie du même travailleur maritime, aux sens de l'art. 23 de D.lgs. 271/99.
Dans aucun autre secteur productif de notre Pays le travailleur est subordonné à une telle quantité de vérifications sanitaires.
On met en évidence l'imminente échéance d'un nombre elevé de certificats médicaux délivrés suite à il visite biennal (ex art. 12 d.lgs. 71/2015) de maritimes italiens actuellement à bord qui, pour divergées des raisons, ne peuvent pas débarquer en ports etrangers. À tel égard, en raison des difficultés à substituer tels maritimes, ainsi que à effectuer dites des visites, il est absolument nécessaire que le Ministère de la Santé éclaircisse que l'étendue jusqu'à trois mois de la validité du certificat médical jusqu'à l'escale où disponible un médical autorisé (est prévu de l'art.12, alinéa 5, de D.lgs. 71/2015 et ss.mm.ii.), soit concédée, en relation à l'émergence sanitaire en acte, dans automatique.
L'émergence sanitaire rend, dans beaucoup de cas, entièrement impossible les vérifications sanitaires périodiques des travailleurs maritimes à bord de la part des médecins compétents (ex art. 23 d.lgs n. 271/99) que, déjà en conditions normales, ils sont particulièrement complexes et pénibles d'effettuare1. À tel égard, il serait souhaitable que le Ministère de la Santé donne des indications dans craint de surveillance sanitaire pour que le médical compétent puisse proroger, même sans la présence physique à bord, la validité de l'aptitude à la fonction spécifie du maritime.
6. Commissions de visite pour les renouvellements des certificats
Elles existent des considérables difficultés à constituer les commissions de visite pour les renouvellements des certificats de sécurité/aptitudes sur le territoire national dû fondamentalement au manque de disponibilité de la part des médecins de USMAF, évidemment engagés dans la gestion de l'émergence COVID. On peut penser à une solution qui prévoie de retenir valide la commission de visite même sans la présence du médical de port, ou bien la suspension de chaque type de visite à bord (en évitant de telle manière même les rassemblements des personnes faisantes chef aux différentes commissions) avec la conséquente concession de prorogations de bureau, de la validité au moins 60/90 jours à l'écheance des certificats ; ou bien la possibilité que le renouvellement/vidimazione des certificats soit faite sur l'escorte de la déclaration aux fins délivrée de l'Organisme du Classement Reconnu.
7. Commissions de visite technicien-sanitaires
En relation aux visites « technique sanitaires », nécessaires pour il vérifie et la certification de la hygiène et de la sécurité sur le poste de travail à bord des bateaux, se relève que dans quelques circonstances, malgré toutes les bateaux se soient douées de procédures pour donner ponctuelle exécution aux directives données du Gouvernement, sont imposées prescription aux sens du 271/99 (par exemple la révision du Plan de Sécurité dans le temps péremptoire de 7 jours) que, en étant une réglementation qui concerne la normale activité des bateaux et l'évaluation des prévisibles « risques opérationnels », ne peut pas être utilisée pour des circonstances exceptionnels de « risque biologique » comme celles en acte, puisque pas le ricomprende.
8. Procédures d'embarquement sur le territoire italien
Pour ce qui concerne les procédures d'embarquement et je débarque du personnel navigant, toujours en vertu de la situation exceptionnelle d'émergence et au fin d'éviter des rassemblements en lieux et des moyens publics, il serait souhaitable prévoir la limitation des déplacements des équipages prés des bureaux territoriaux des Capitaineries du port pour régulariser des embarquements et des débarquements. Proposition qui s'avance est cette uniformiser pour l'instant, même ici dans Italie, combien déjà arrive en divergées localité du monde avec le seul Commandant qui se rend prés du consulat de roulement pour régulariser sur décrits des mouvements qui seront ensuite contresignés en second instant en tant que les individuels maritimes, à la présence du Commandant et à des appropriés témoins.
9. Paquebots et autoroutes de la mer
L'émergence covid-19 frappe lourdement même les services offerts dont des paquebots, l'Italie est primaire fournisseur mondial soit dans le secteur des croisières que des bacs. Le secteur, en plus de subir des lourdes répercussions économiques des dûs à un zérotage des réservations et à un significatif phénomène d'effacement des réservations déjà effectuées, risque de voir compromise l'opérativité des bateaux qui assurent la continuité territoriale et les autoroutes de la mer.
À cause du nombre de passagers drastiquement réduit, suite à les nécessaires limitations à la libre circulation des personnes introduites des récentes mesures gouvernementales, les compagnies de navigation vous engagez dans le trafic passagers (typiquement avec des bateaux RoRo Pax) ont des tableaux minimums de sécurité qui résultent à l'instant sovradimensionate puisque liées au nombre plus grand de passagers imbarcabili. Elle serait souhaitable une réduction temporaire de tels tableaux au fin de permettre aux compagnies de contenir le nombre de la maritimes à bord à tout avantage de la santé et sécurité des mêmes. De cette façon, en effet, ils seraient limités les contacts interpersonnels et donc l'exposition du personnel à des inutiles risques. Évidemment, une fois rétablies les normales conditions de circulation des personnes, les actuels tableaux seraient immédiatement rétablies.
10. Croisières, défence de je débarque dans les ports
Au lendemain de DPCM 9 Mars 2020, la situation pour le secteur crocieristico dans les ports italiens est toujours plus dramatique étant la défence de débarque des passagers. Telle situation a forcé les plus grands opérateurs de croisières engagés dans le marché italien à arrêter quelques bateaux dédiés au marché national.
À l'étranger, malgré toutes les procédures et les protocoles activés à bord des bateaux au fin d'éviter l'embarquement de personnel et de passagers « à risque » (par exemple screening de la température corporelle et vérifie des Pays visités dans les derniers 14 jours avant l'embarquement), les bateaux de croisière qu'ils embarquent des citoyens italiens subissent en différents Pays des restrictions drastiques des droits d'abordage et débarque avec un grave donnent économique et d'image.
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